Bien déchirée…

« – Bonjour, ma pute ! »
Ce sont les premiers mots que tu as entendu. Je me tenais en face de toi, souriant. En dehors de cette phrase rien ne laissait deviner que j’allais te violer. Mais c’était écrit, tu le savais. Et, si jamais j’hésitais, tu ferais tout pour. Pour stimuler ton Maître, pour qu’il t’utilise pour se vider les couilles. Tu as répondu en baissant les yeux :

« – Bonjour, Maître. »
J’ai ôté ma pantoufle :
« – Lèche-moi le pied. »
Tu as été surprise : tu ne t’attendais pas à une telle demande. Mais tu t’es agenouillé et tu as obéi. Je t’ai observé, satisfait :
« – C’est bien, tu as compris ta place, chienne. »
« – Oui, Maître, je suis là pour vous servir de la façon dont vous voudrez. »
« – Même si je suis gentil avec toi ? »
« – Maître, je ne le mérite pas… »
« – Même si je te fais jouir avec douceur ? »
« – Ne prenez pas cette peine, Maître. Défoulez-vous. »
Je te tirais par le bras pour te relever, te giflais puis saisis ton oreille et la tira avant de crier dedans :
« – Tu n’as pas d’ordre à me donner ! Je serais doux si j’en ai envie ! Tu comprends ? »
Tu te mis à pleurer en tremblant :
« – Ou… Oui, Maître, pardon… »
Je me calmais alors et relâchais ton bras :
« – C’est bien. »
Puis je sortis ma queue. Tu la regardas avec un mélange d’admiration, d’appréhension et de gourmandise. Tu murmuras :
« – Vous… Vous allez me la mettre dans le cul ? »
« – Non. Je vais te violer l’anus, nuance. »
« – Ah… Oui, Maître. Bien, Maître. Comme il vous plaira. »
J’ai ri :
« – Bien sûr que je ferai comme il me plaira ! »
Puis je te regardais longuement. Tu fis mine de te déshabiller mais je t’arrêtais d’un mot :
« – Plus tard. »
Tu attendis alors. Je te dévisageais, silencieux. Tu ne savais que faire, n’osais me regarder. Tu jetais des regards furtifs à ma verge déjà partiellement durcie. Tu voulus plusieurs fois briser le silence. Mais un simple regard te fit taire. Enfin je lâchais :
« – Allez, fais-toi plaisir. Je sais que tu en as envie, petite pute. »
Tu m’as regardé, rougissante. Tu aurais voulu calmer ce désir. Mais tu ne pouvais pas. Alors tu t’es à nouveau agenouillé et tu as avalé ma verge. Tu as attendu que je saisisse ta tête et te pilonne. Mais je n’ai pas bougé. Alors tu as commencé à aller et venir. Je t’ai interrompu en t’attrapant les cheveux. J’ai levé ta tête vers moi et tu as eu un rictus de douleur alors que ta nuque se pliait. Je me suis penché et j’ai dit :
« – Tu veux que je te baise la bouche, n’est-ce pas ? »
Tu as hoché doucement la tête. Je t’ai craché au visage. Tu as voulu tourner la tête mais je t’ai attrapé la mâchoire et j’ai à nouveau craché. Je t’ai murmuré d’une voix dure :
« – Si tu veux que je t’étouffe tu dois le mériter, sale truie. Alors utilise ta langue, tes mains. Lèche branle, aspire. Ne soit pas aussi passive ! »
« – Pardon, Maître. »
« – Arrête de t’excuser et suce. »
« – Oui, Maître. »
Tu as pris ma verge en main et as entrepris de la sucer avec ardeur. Tu as senti ma main se poser sur ta tête. Tu as frémis, de peur et d’impatience. Tu as ouvert grand la bouche. Mais je me suis contenté de te caresser les cheveux de jouer avec tes mèches. Tu t’es sentie déçue, frustrée. Humiliée aussi. Humiliée que je me sois ainsi joué de toi. Mais humilié aussi de sentir que tu attendais cela avec impatience. Puis, enfin, une deuxième main s’est posée sur ta tête. Tu as posé tes mains sur mes fesses et m’as avalé aussi profond que tu le pouvais, m’indiquant tes limites. Limites que j’allais allégrement te faire franchir… J’ai alors commencé à baiser ta gorge. Tu t’es mise à mouiller. Tu tentais d’avaler ta salive lorsque mon sexe entrait pour l’accueillir plus facilement. Ta bouche se remplissait peu à peu de salive et la sensation était délicieuse. Tu toussas plusieurs fois puis te mis à baver. Enfin je te jetais à terre et tu toussas en reprenant ta respirant, ta salive coulant de tes lèvres. Tu m’as alors demandé :
« – Je peux me déshabiller, Maître ? Je suis toute mouillée… »
« – Non, reste comme ça. Tu sentiras mieux combien tu es chienne avec le tissu trempé contre ta chatte. Ça t’aidera pour la suite. »
« – Merci, Maître. Merci de penser à moi. »
« – Arrête tes conneries, je n’ai juste pas envie d’avoir à m’arrêter parce que tu n’es pas assez chaude. »
« – Merci, Maître. »
« – De rien, pétasse. Viens m’aider à descendre le miroir à la cave. »

Tu vins m’aider à le décrocher puis à le descendre dans les escaliers. Tu avais le souffle court : il était lourd. Tu geignis :
« – Maître… Un petite pause… »
« – Non. Pense au plaisir que tu vas prendre… »
« – Je mouille… »
« – Je sais, salope. »
« – Prenez-moi, Maître. »
« – Ne t’inquiète donc pas. Tu vas te faire prendre. Et tu vas le regretter, crois-moi ! »
« – Impossible, Maître. »
« – Tu me sous-estimes… »
« – Non, Maître. Mais je ne pourrais jamais regretter les sensations que me procurent votre queue, quel qu’elles soient… »
« – Sale chienne. »
« – Oui, Maître. Votre chienne docile. »
« – Alors pas de pause. »
« – Non, Maître, en effet. Plus vite nous serons descendus, plus vite vous vous soulagerez. »
« – Et plus vite tu jouiras. »
Tu murmuras en rougissante et en baissant les yeux :
« – Oui, Maître… »

Nous installâmes le miroir à la cave, devant la bâche plastique sur laquelle j’allais te déflorer tes orifices. Tu semblais anxieuse, à raison. Mais j’étais sûr que tu mouillais toujours. Je t’ai saisi par les épaules, t’ai fait relevé la tête et j’ai dit :
« – Quand je claquerais des doigts nous serons deux étrangers. Le chauffagiste et sa cliente, l’agent immobilier et une potentielle acheteuse. Peu importe. Ce qui importe c’est que je te serais inconnu et que tu ne sauras pas que je vais te violer. »
« – Bien, Maître. »
Je souris puis la relâchas. Je claquais alors des doigts et dis :
« – Vous êtes bonne, dis donc. Vous avez une sacrée paire ! »
« – Pardon ? »
« – T’as très bien compris, petite pute. Tu m’excites. »
« – Mais… Voyons… »
Je te giflais et tu hurlais. Je ricanais :
« – Ouais, hurle ! On est à la cave, tu sais ? Personne entendra ! »
« – Mais… Mais… »
Je saisis tes bras et te força à t’allonger par terre. Je m’assis sur ton ventre. Je dis alors en ôtant mon haut :
« – Je vais te baiser. Ouais, je vais faire ça.
« – Non, arrêtez ! Au viol, au viol ! Quelqu’un ! Au secours ! »
Une nouvelle gifle puis j’écrasais ta mâchoire entre mes doigts :
« – Personne t’entend ! »
Puis je t’ôtais ton haut alors que tu te débattais. Je pris un rouleau de gros scotch et t’attachais les poignets sur le ventre. Puis je remontais ton soutien gorge et massais tes gros seins en murmurant :
« – Umm… De la bonne pute appétissante. »
Je me mis à les téter et les mordiller. Tu hurlais toujours, me suppliais. Je m’impatientais et te giflais plusieurs fois. Je te gueulais dessus :
« – Bon t’arrête maintenant ou je m’énerve ! Tu vas me laisser te démonter le cul tranquille, ok ? »
Tu t’es mis à pleurnicher :
« – Non, non ! Je veux pas ! »
« – Je m’en fous. »
Je te retournais alors sur le ventre et tirais ton pantalon puis ta culotte. Tu te débattais avec tes pieds et je laissais alors ton pantalon sur tes chevilles pour restreindre tes mouvements. Ta culotte, quant à elle, entravait tes genoux. J’ôtais mon pantalon et me masturba en tapotant ma verge sur tes fesses. Tu gémissais en suppliant. Je t’ignorais superbement. J’écartais tes fesses et te doigtais l’anus. Tu hurlas. Je te força à sucer mon doigt en ricanant :
« – Il est bon ton cul, hein ? »
« – Arrêtez, arrêtez !!! »
Je te tirais par les cheveux et grognais :
« – Arrêtez quoi, salope ? On a même pas commencé ! »
Tu éclatas en sanglots et je t’attachais ma ceinture autour du cou avant d’y attacher une lanière de cuir. Je dis en riant :
« – Prête à être chevauchée ? »
« – Non, non… Par pitié, non… »
J’ignorais à nouveau tes suppliques et calais mon gland face à ta rondelle :
« – C’est parti ! »
Je te sodomisais alors sans retenue. Je ne cherchais toutefois pas à forcer, juste à prendre mon pied, à sentir les parois céder sous mes assauts, s’ouvrir peu à peu. Tu hurlais, gigotais, tapais des pieds, pleurais. Je tirais sur ta laisse et dis :
« – T’aimes ça, grosse pute, hein ? regarde comme je te défonce ! »
Tu vis ton reflet dans ton miroir et ne pus retenir un gémissement d’excitation. Je te giflais :
« – Espèce de chienne ! »
Puis je te prenais plus fort et tu criais alors que ton visage se déformait de douleur. Je levais alors ton cul et le calais avec un tissu roulé en boule qui trainait. Je donnais une grande claque sur ta fesse et dis, enthousiaste :
« – T’as vu comme je t’encule ? Ça doit t’exciter, ma salope ! »
« – Non, arrête, arrête ! »
Je donnais de grand coup de rein :
« – Oh putain que c’est bon ! »

Je te limais ainsi longtemps, savourant cette sensation nouvelle pour nous deux. Tes gémissements se calmaient peu à peu, tu te débattais moins. Plaisir qui venait ou simple fatigue de tant de douleur ? Peu m’importait. Je sentis ma sève monter. Je te retournais alors sur le dos, ôtais complétement ton pantalon et ta culotte et écartais grand tes cuisses. Je scrutais ta fleur sans pudeur tu gémis :
« – Non, non… Je suis vierge, pas ça… »
« – Ah, t’étais pas vierge du cul ? »
« – Si… Mais… Non… Pas ça… »
Je caressais ta chatte du doigt :
« – Je vais bien la remplir de bon jus. »
Tu te débattais à nouveau et je bloquais tes cuisses :
« – Non, non ! Je prend pas la pilule ! Pas ça ! »
C’était faux, bien entendu. Mais l’idée me plaisait. J’enchaînais :
« – Cool, si ça se trouve je vais te faire un bâtard ! Putain tu m’as tellement excitée avec ça que je vais te violer deux fois en fait. Mais d’abord… »
Je me masturbais à l’entrée de ton vagin et giclais sur tes lèvres intimes. Puis je glissais lentement ma queue, entrainant le sperme au fond de toi. Puis je dis avec entrain :
« – On y retourne ! »
Je t’empalais d’un coup sec et tu hurlais alors que ton hymen se déchirais. Tu te mis à saigner et tentais de me repousser avec tes mains liés mais je me contentais de te ramoner sauvagement. Tu gémis :
« – Arrête ! Arrête ! J’ai trop mal ! »
Je te crachais au visage et t’étranglais en te hurlant dessus :
« – Te fous pas de ma gueule ! Tu mouilles, salope ! Je le sens sur ma queue ! »
« – Non ! Non ! »
Je te fis taire en plaquant ma main sur ta bouche. Puis je mordis tes tétons et te baisais avec délice. Je jutais en admirant ton visage torturé par la douleur.

Je ressortis et dis gaiement :
« – Ah ! Ca a été rapide mais c’était super, bravo sale pute. »
Tu sanglotais comme une gamine, inerte, les cuisses écartées. Je me suis penché sur toi et t’ai giflé avant de saisir ton visage :
« – Oh ! J’ai fini de te violer, c’est bon, tu peux arrêter. »
Tu as reniflé, retenant tes larmes :
« – Oui, Maître. Merci, Maître. »
« – De rien, salope. »
Je commençais à doucement caresser ta chatte et dit :
« – Tu n’as pas joui ? »
Tu bougeais doucement les hanches en répondant simplement :
« – Umm, umm… »
Je restais pensif un moment. Puis j’ai planté mes doigts tu t’es tendue, cambrée en gémissant :
« – Oh… Oh oui, Maître… »
« – Tu es vachement humide pourtant, petite chienne. Tu es en chaleur ? »
« – Vous êtes là, Maître. Je suis toujours en chaleur. »
« – Je vois ça. Mais tu n’as pas joui. »
« – Ah… Ah… Non… Mais… Oh… Ca peut s’arranger. »
« – Ah comment cela ? »
Tu as commencé à te toucher avec tes mains liées :
« – Vous allez voir, Maître. »
« – Attends. »
J’ai pris un cutter et j’ai coupé le ruban, libérant tes poignets. Tu as baissé les yeux en murmurant :
« – Merci, Maître. »
« – Regarde-moi. »
Tu as levé les yeux. La gifle t’a envoyé sur le côté. Je t’ai mise sur le ventre, te tordant le bars et appuyant mon genoux sur tes reins. Je t’ai craché dessus puis j’ai tiré ta tête en arrière en hurlant :
« – Tu me prends pour qui ? Tu veux dire que je ne peux pas te faire jouir ? »
Tu t’es mise à pleurer de nouveau :
« – Si, si ! Bien sûr ! Je voulais juste… »
« – Juste quoi, pétasse ? »
« – Juste vous faire plaisir, Maître… »
« – Me faire plaisir ? En me montrant que je n’étais pas capable de te faire jouir ? »
« – N… Non, Maître, je ne voulais pas… »
« – Et ma queue ? Tu ne l’as pas aimé ? »
« – Si ! Bien sûr, Maître ! »
A nouveau j’ai hurlé en tirant plus fort sur tes cheveux :
« – Alors pourquoi tu n’as pas joui, traînée ? »
Tu pleurnichais, hoquetais :
« – Je… Je sais pas… La douleur… »
« – Mauvaise excuse ! C’était ma queue qui te l’infligeait ! »
« – Oui… Je ne sais pas… Je suis désolé, Maître… »
Je t’ai fessé violemment puis ai saisi ta fesse :
« – Tu voulais que j’y ailles plus fort quand je t’ai sodomisé, n’est-ce pas ? »
Tu as rougi :
« – Oui, Maître… »
« – Bien je vais être gentil pour ta punition. Là je t’avais sodomisé pour me faire plaisir. Maintenant ce sera juste pour te faire mal. Enfin je juterais quand même… Mais d’abord… »
J’ai attaché tes mains dans ton dos. Puis j’ai caressé ta petite chatte en me penchant sur toi. Tu gigotais pour fuir ou t’offrir, tu ne savais plus trop. J’ai murmuré à ton oreille :
« – Tu mouilles toujours autant… »
J’ai planté mon doigt au fond. Tu as frémis en réprimant un petit cri. Je caressais tes pétales, enfournais mes doigts, tournais, massais. Je pinçais et torturais ton clitoris aussi. Tu gémissais encore et encore. Je susurrais :
« – Tu aimes, ma pute ? »
Tu tremblais, tentais de m’échapper. Tu as murmuré :
« – Ah… Ah… Maître… »
J’ai dit plus durement en attrapant tes cheveux :
« – Réponds ! »
« – Oh… Ah… Oui, Maître… C’est bon… Ah… »
Je t’ai craché dessus puis t’ai embrassé. Ta langue s’est mêlée à la mienne. Puis je l’ai mordu. Tu as crié, bâillonnée par mes lèvres. J’ai commencé à te doigter l’anus et ton corps a chaviré. Tu m’a embrassé fiévreusement, goulument. Tu tremblais comme une feuille. Je pinçais ton téton et tu eu une vague de spasme. Ton vagin massait mes doigts. J’en enfonçait toujours plus. Tu t’es mise à hurler :
« – Merci, Maître, merci ! Maltraité mon vagin ! »
Alors j’ai enfoncé ma main et tes jambes se sont agitées en tout sens. Tu tentais de m’échapper mais continuais à me réclamer.

Enfin tu t’es calmé et tu as dit :
« – J’ai mal à la chatte et au cul, Maître. Merci. »
« – Tu as mal au cul ? Tu crois vraiment ? »
« – Je vous assure, Maître. Votre queue m’a fait très mal. »
J’ai alors susurré doucement en caressant tendrement tes seins :
« – Crois-moi, ce n’était rien à côté de ce qui t’attend… »
Tu as frissonné. J’ai à nouveau libéré tes poignets, arrachant cette fois-ci le scotch. Une nouvelle calque sur ta fesse puis un ordre bref :
« – Allez, appuie-toi sur le miroir. »
« – Oui, Maître. »
« – Écarte plus les jambes. »
« – Bien, Maître. »
« – Cambre-toi, veux-tu ? »
« – Voilà, Maître. »
« – C’est bien, grosse salope, c’est bien. »
Je me suis levé à mon tour et j’ai ajusté quelques détails : une mèche qui tombait sur tes yeux, la laisse que je fit pendre devant toi. Puis je t’ai regardé dans le miroir et j’ai demandé :
« – Que vois-tu, ma chienne ? »
« – Une salope désobéissante qui va se faire corriger à coups de bite dans l’anus. »
« – Tu penses qu’elle se rappellera de la leçon. »
« – Je suis sûr que son Maître s’en assurera… »
« – Ah ? Comment ? »
« – En la violentant si fort qu’elle ne pourra oublier. »
« – Umm… En effet. »
Je m’accroupis à tes côtés et suçais tes seins. Puis je jouais avec eux en demandant :
« – Tu sais qui est cette pute ? Tu la connais ? »
« – Oui. C’est moi, Maître. »
« – Oh. Tu sais ce que ça signifie alors ? »
« – Oui. Cela veut dire que je vais souffrir, Maître. »
« – Tu n’as pas peur ? »
« – Si. »
« – Fuis alors. »
« – Je ne peux pas. »
Je caressais à nouveau doucement ta chatte. Puis je fis courir mes doigts sur tes lèvres et tu les léchas. J’admirais ma chienne comme on contemple un bel objet dans une vitrine.
« – Pourquoi ? »
« – Parce que je l’ai mérité. Et quand bien même. Je vous appartiens, Maître. Si vous voulez me faire du mal je me dois d’obéir. »
J’ai soupiré en me relevant :
« – Tu as tout compris, ma salope. »
Je me suis placé derrière toi, ai posé mes mains sur tes hanches. Tu as tendu ton cul vers moi. J’ai doucement caressé la rondelle légèrement dilatée. Puis j’ai murmuré :
« – Alors souffre… »
Et je t’ai planté d’un coup sec. Profondément. Violemment. Mon sexe était presque entièrement en toi. Tu as hurlé en explosant en sanglots. Tu as voulu te dégagé mais je te tenais fermement. J’ai grogné :
« – Un problème ? »
Tu as voulu parlé mais les mots ne sortaient pas. Enfin tu réussis à balbutier :
« – N… Non… Enfin si… Bougez en moi, je ne souffre pas assez. »
« – D’accord. »
J’ai alors méthodiquement violenté ton anus. J’y mettais tout mon cœur, toute la violence dont j’étais capable. Mes bourses tapaient sur ta chatte, mes hanches sur tes fesses. Je claquais fortement celle-ci et ordonnais :
« – Doigte-toi. Tu as intérêt à jouir cette fois. »
Tu as gardé une main sur le miroir. Ton bras était trop faible et tu glissas et je te retins en riant :
« – Et bien ! Où crois-tu aller ? »
« – Nu… Nulle part, mon Maître. Votre queue est ici. Ici est ma place. »
J’ai murmuré :
« – Oui, tu as raison… »
Je t’ai longuement embrassé puis ai repris besogne. Je sentis tes doigts entrer dans ta chatte à travers la fine paroi séparant ton vagin de ton anus. J’imaginais la douleur que te procurais cette double pénétration et je m’en réjouis. J’accélérais ma sodomie et tu voulus reprendre ton équilibre avec ta main mais je la retins :
« – Non, non, non. Ta main reste là ! »
« – Ou… Oui, Maître. Bien, Maître… »
« – Et masturbe-toi, bien. »
« – A vos ordres, Maître. »
Je recommençais alors à te bourrer, savourant chaque résistance que je brisais à grands coups de hanches. J’entendis ton souffle s’accélérer mais n’y pris pas garde. Je fus surpris de t’entendre, te sentir jouir à nouveau. Je te l’avais ordonné mais ne pensais pas que tu pourrais. J’en profitais pour bien te pénétrer. Puis, lorsque tu fus un peu calmée, que ta tête retomba et tes doigts s’agitèrent moins vivement je pris la laisse et tirais dessus. Ta tête vint sans aucune résistance. Cela t’étranglait mais tu ne t’en formalisais pas. J’ai murmuré :
« – Très bien. Tu es excusée, vile salope. »
« – Merci, Maître… »
« – Voilà ta récompense… »
« – Merc… Aïe !!! »
Je me déchaînais alors, sentant ma propre jouissance arriver. Ton corps étais balloté en tout sens et je dus te retenir contre moi pour que tu en tombes pas. J’admirais ma poupée servile dans la glace. Puis je la laissais choir à terre et lui tirais la tête en arrière en me branlant. Elle tira la langue et reçut mon jus sur le visage et dans sa bouche. Elle avala avant de s’essuyer le visage et de se lécher les doigts. Je frottais mon gland sur sa joue et elle l’avala, le suçotant doucement. Je demandais :
« – Tu aimes ? »
Tu répondis vaguement, la bouche pleine :
« – Umm, umm… »
Je te souris :
« – Tu es épuisée, hein ? »
« – Oui, Maître. J’en ai plein le cul. »
J’ai ri. Tu mis un peu de temps à comprendre pourquoi. Puis tu réalisas ce que tu venais de dire. Tu te contentas de sourire, trop épuisée pour rire. Je t’ai giflée et tu t’es laissée choir. Je t’ai redressée par les cheveux et j’ai dit :
« – Ben tu vois, ça c’est bien passé finalement ! »
Tu as souri et es retombée au sol quand j’ai lâchée. Je t’ai tirée parle bars et j’ai lancé :
« – Bon c’est pas tout ça, je vais te baiser ailleurs ! Par contre il faudra te bâillonner vu comment tu cries… »
Puis j’ai ri. Tu n’as pas réagi. Inconsciente ou juste résignée à subir mes désirs…

Proposée par Talis Cat


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