Une cochonne qui en veut se fait tirer dans son escalier… Avant de recevoir des visites imprévues !
Tu attends debout, les yeux bandés. Tu guettes des bruit de pas dans l’escalier, l’ascenseur qui s’arrête à ton étage. Tu soupires de dépit chaque fois que des gens s’approchent mais que ta porte ne s’ouvre pas. Tu es tellement excitée… Tu imagines son sexe se glissant dans ton anus, forçant le passage. Puis sa queue qui se pose sur ta langue, son jus qui gicle dans ta bouche. Il a promis qu’il te forcerait à avaler, que tu n’auras pas le choix. Tu mouilles d’impatience. A nouveau l’ascenseur. Est-ce lui ? Il semble se diriger vers l’autre porte : est-ce juste le voisin d’en face ? Un bruit de porte : c’est lui, il vient de rentrer. Tu te retiens de courir vers lui, de te jeter à ses pieds et de sortir son sexe pour le sucer. Tu restes figée alors qu’il tourne autour de toi. Tu sens son regard sur ton corps, puis ses mains. Ses doigts se glissent dans ta chatte. Tu l’entends les sucer, gouttant ta mouille, savourant ton excitation. Bruit de fermeture éclair : sa bite te caresse la cuisse. Elle paraît bien raide et longue. Tu sens qu’il t’écarte les fesses. Tu frisonnes sachant que tu vas te faire enculer debout au milieu de ton entrée. Sa verge te dilate. Elle rentre facilement, au début. Mais tu commences à sentir la douleur monter alors qu’il s’enfonce toujours plus profond. Il ne s’arrête cependant pas. Ses mains soupèsent ta poitrine, titillent tes tétons. Il murmure :
« – Tu aimes quand je t’encule, grosse salope ? »
« – Umm, oui, vas-y, défonce-moi fort ! »
« – Tes désirs sont des ordres, ma chienne. »
Il pose ses mains sur ta taille puis les fait glisser vers ton sexe, ouvrant les lèvres de ton intimité. Il cale bien ses mains et finit d’entrer sa hampe d’un coup sec, t’arrachant un cri. Puis il commence à te ramoner méthodiquement. Tu veux te pencher en avant mais il te retient en susurrant :
« – Reste comme ça, ma pute, ça resserre ton cul … »
Tu obéis, savourant la sensation de cette bite qui te ravage.
Enfin, il te chuchote à l’oreille en te caressant à nouveau les seins :
« – C’est bien, tu es une bonne cochonne. Maintenant tu vas boire mon sperme. »
Sa queue sort d’un coup sec, laissant ton anus béant. Il ajoute :
« – A genoux, pétasse. »
Tu t’exécutes puis ouvres grand la bouche en tirant la langue. Tu sens sa verge se poser sur ta langue et t’apprêtes à la masturber mais il t’ordonne de garder tes mains sur tes genoux. Son sexe entre dans ta bouche et ta langue l’accompagne. Tu fermes la bouche et le laisses te pilonner la gorge. Tu sens rapidement des spasmes le long de sa bite : il va bientôt juter. A ton grand étonnement il sort sa hampe de ta bouche. Tu réagit promptement en tirant la langue. Il y pose son gland et quelques gouttes de semence viennent s’y déposer. Tu es surprise qu’il ne gicle pas davantage mais il dit alors :
« – Je vais juter petit à petit pour que tu avales bien tout… »
Ses paroles t’excitent terriblement. Tu t’efforces d’avaler sans y parvenir. Il ne dit rien, te force à fermer la bouche, penche ta tête en arrière. Mais son jus sort aux commissures de tes lèvres. Il reste silencieux mais te force à te pencher en avant et commence à te fesser violemment. Enfin il te redresse en te tirant par les cheveux et te dit méchamment :
« – Tu as intérêt à avaler, salope ! Sinon, il t’en cuira ! »
Il éjacule de nouveau. Cette fois-ci tu parviens à avaler le liquide gluant. Il inspecte ta bouche pour s’assurer que tu n’en gardes pas sous la langue. Puis il jute à nouveau. Tu ne parviens pas à tout avaler et la sanction tombe à nouveau…
Quand il arrête enfin de gicler tu as mal aux fesses et le goût de son sperme en bouche. Il ne te laisse pas le temps de récupérer et s’assoit face à toi, les jambes de chaque côté de ton corps. Puis il te fait plier la nuque et avaler sa verge. Il dit alors :
« – Tu as bien avalée, tu as fait des efforts. Pour te récompenser je vais te remplir le cul. Fais-moi durcir à nouveau. »
Il ramollit à peine mais continue à savourer ta fellation. Puis il se décide enfin et te fais lever avant de te guider par la main. Il te fais appuyer sur le mur. Tu restes perplexe, incapable de reconnaître la texture des murs de ton appartement. Mais il ne te laisse pas le temps d’y réfléchir et fourre sa queue dans ton anus. Tu pousses un cri. Il dit alors, goguenard :
« – Tu sais où on est, ma grosse truie ? »
« – Non. »
« – Regarde. »
Il soulève légèrement ton bandeau et tu t’aperçois qu’il t’a amené sur le palier. Tu es paniquée mais aussi terriblement excitée. Il commence à te bourrer avec force et murmure :
« – Crie, si tu as mal… »
Puis il ricane et te remet ton bandeau. Tu es submergée de sensation : les cris de douleur mais aussi de jouissance que tu dois retenir, les sons que tu guettes… Cela contribue à t’exciter encore davantage. Quand tu sens les vagues de semence envahir ton anus tu es tremblante. Ta chatte est une fontaine et tu as du mal à penser, à te tenir debout. Il te donne quelques ultimes coups de rein puis caresse tes formes avant de se retirer.
Il part sans mot dire, te laissant pantelante sur le palier. Tu n’as même pas vu son visage. Mais tu as bien senti sa queue… Tu t’effondres quelques instants au sol puis rassemble tes forces pour te relever. Tu sens alors que l’on t’aide à te redresser. Une voix vaguement familière s’élève :
« – Et bien, on s’est perdue ? »
Tu rougis. Tu crois reconnaître quelqu’un de l’immeuble. Tu bégaies :
« – Je… En fait… »
Il te coupe d’un ton moqueur :
« – Chut, pas un mot. Chacun ses petits secrets ! »
Tu souris :
« – Oui, en effet. »
Il t’aide à entrer chez toi. Alors qu’il s’apprête à repartir une soudaine impulsion te fait demander :
« – Vous voulez m’enculer ? J’ai déjà le cul dilaté. »
Une voix féminine, visiblement énervée, répond :
« – Arrête ton show, sale pute. Tu pourrais au moins penser au fait qu’il y a des enfants dans cet immeuble ! »
Tu les entends tout deux partir et commencer à s’engueuler. La porte claque, te laissant seule, les bras ballants, dans ton entrée. Tu te dirige à tâtons vers ton salon. Tu réalises alors que rien ne te force plus à garder ton bandeau. Tu ris. Tu l’ôtes et utilises l’étoffe pour te caresser. Puis tu te diriges à nouveau vers ton salon.
Une surprise de taille t’y attends : un homme assis sur le canapé. Il a sorti sa queue et se masturbe. Il te dévisage en silence. Tu ne sais que dire. Mais tu sens l’excitation monter. C’est à ce moment qu’une verge viens se coller contre ta chatte, entre tes jambes alors qu’une main ta bâillonne. Une voix murmure alors que son autre main parcoure ton corps :
« – Alors comme ça on est une pute ? Pas de bol nous on veux pas payer : on va juste t’enculer. »
Tu te retiens de rire et de leur dire que tu n’es pas une pute, juste une salope qui aime se prendre des bites. Mais tu as envie qu’ils te forcent, qu’ils te violent. Alors tu fais mine de résister, de tenter de hurler malgré sa main. L’autre homme s’avance et dessine le contour de tes seins avec son doigt. Puis il te doigte. Il regarde son doigt mouillé, sourit et dit :
« – T’as l’air d’aimer ton métier, ma salope… »
Puis il attrape le bandeau que tu tenais encore et te bâillonne avec. Les deux hommes te saisissent alors et te traînent vers le divan. Tu te débats à nouveau vainement. Ils t’allongent sur le dos et écartent tes cuisses. L’un d’eux se place entre elles et suce tes seins avant de glisser son sexe dans le tien. Tu tentes de le repousser et l’autre homme utilise alors un morceau de tissu pour t’attacher les mains dans le dos. Puis il approche sa verge de ton visage et pousse ton bâillon. Avant que tu n’aies pu crier, il enfonce sa hampe au fond de ta gorge. Ils te pilonnent tous les deux. Le bandeau est retourné sur tes yeux.
Ils restent longtemps ainsi et tu savoures chaque secondes. Puis la queue sort de ta bouche. A nouveau tu fais mine de crier mais un autre tissu t’en empêche. Tu te retrouves assise sur l’autre homme, tournant le dos à la pièce. Tu comprends vite pourquoi lorsque qu’il pose ses mains sur tes hanches : ils vont te déchirer ensemble pour ton plus grand plaisir… Et le leur. Tu sens avec délice cette deuxième bite t’exploser le cul et tu hurles de douleur et de plaisir à travers ton bâillon. Tu t’affales sur ton tortionnaire, haletante. La jouissance t’envahit. Mais ils se retirent aussi vite qu’ils sont entrés, te laissant frustrée. Une queue s’enfonce sous ton bâillon et l’homme commence à juter. Puis la verge de son compagnon entre elle aussi dans ta bouche, te déformant la mâchoire. Tu ne veux pas avaler mais il y a maintenant tellement de sperme que tu n’arrives pas à tout recracher, surtout avec ces deux bites qui te bloquent. Alors tu avales. Ils sortent ensuite leurs sexes, les frottent sur ton visage pour les nettoyer puis tu les entends discuter tranquillement. Enfin ils partent en te laissant attachée au milieu du salon. Mais ce n’est pas ta principale préoccupation : tu as envie de te toucher. Alors tu vas vers le divan et frottes ta chatte détrempée sur l’accoudoir. Enfin tu jouis et t’affales inanimée sur le canapé.
Une voix te réveille : celle de l’homme qui t’a aidé sur le palier. Il dit en riant :
« – Je vous laisse aveugle et vous voilà muette et manchote… »
Il ne te détache cependant pas. Au lieu de ça il te met sur le ventre et t’enlève ton bâillon. Puis il te sodomise. Tu n’as plus aussi mal qu’avant mais tu sais qu’il t’a enlevé ton bâillon pour entendre tes cris. Alors tu t’époumones alors qu’il s’excite entre tes fesses. Il fait des pauses de temps à autres et tu en profites pour reprendre ton souffle. Il te dit alors :
« – Putain, ça fait du bien ! Ma femme ne veut pas que je l’encule… »
« – C’est vrai ? Elle ne sait pas ce qu’elle perd ! »
« – Oui, c’est ce que je me tue à lui répéter… »
Un léger silence alors qu’il te prend plus doucement. Tu demandes :
« – Elle sait que vous êtes là ? »
« – Non. On s’est engueulé et je lui ais dit que j’allais faire un tour le temps qu’elle se calme. »
Tu souris :
« – Petit coquin… »
Nouveau silence. Tu pousses quelques cris alors qu’il donne de brusques coups de rein. Tu murmure, haletante :
« – N’hésitez pas à passer quand vous êtes en manque… »
« – Je m’en souviendrais. »
Il se met alors à t’enculer brutalement, t’arrachant des cris.
Tu sens qu’il va éjaculer et tu lui dis alors d’un ton pressant :
« – Jutez-moi dans la gorge ! »
« – Vous voulez ? »
« – Oui, bien-sûr ! »
« – Encore un truc que ne fait pas ma femme… »
« – Hein ? Elle suce au moins ? »
« – Presque jamais… »
« – Quelle dommage ! »
« – C’est sûr ! »
Il s’éloigne alors pour que tu puisses t’agenouiller au sol et commence à se branler face à toi. Son sperme gicle sur ton visage et rapidement coule dans ta gorge. Tu t’efforces d’en avaler le maximum. Mais pas la totalité. Il demande :
« – Tu n’avales pas ? »
« – Non, pas encore totalement… Désolée. Punissez-moi, si vous voulez. »
Il rit :
« – Non, quand-même pas ! »
« – Mais j’ai été méchante ! »
Il veut rétorquer mais comprend alors que tu veux être punie. Il dit alors :
« – C’est vrai. Que pourrait-on faire ? »
« – Je pense qu’une fessée… »
« – Bonne idée ! »
Il y a une pause puis il ajoute :
« – Là je n’ai plus le temps. Mais vous n’y couperez pas la prochaine fois ! Et vous avez intérêt à bien avaler ! »
« – Oui, je m’y efforcerais. »
« – Bien, je vais tenter de convaincre ma femme de se faire enculer ce soir, je sens que c’est ce soir ou jamais ! »
« – J’espère qu’elle refusera ! »
« – Pourquoi ? »
« – Pour que vous veniez me déchirer le cul plus souvent ! »
Il rit :
« – Ne vous inquiétez pas : je doute qu’elle se laisse enculer aussi fort que vous ! »
Puis il ajoute sur un ton complice :
« – Et puis elle ne suce pas ! »
Tu te sens à nouveau excitée : quelle dommage qu’il ne puisse rester !
« – Umm, j’ai hâte de goûter à nouveau votre sperme… »
« – Vous y aurez droit très vite, je pense, ne vous inquiétez pas ! Allez, au revoir, ma salope ! »
Il commence à partir puis s’arrête. Il rit alors :
« – J’allais oublier de te délivrer ! »
Il revient, détache tes liens, te donne une claque sur le cul puis s’en va en sifflotant te laissant pensive, appuyée sur le divan. Tu repenses à cette folle soirée. Et tu commences alors à te masturber. Tu ne vas pas beaucoup dormir cette nuit !
Proposée par Talis Cat